Avertie

Chaque fois qu’elle sortait, oppressée, de l’un de ces grands immeubles de verre où l’on croise de tristes messieurs en costume anthracite, elle se rappelait ce qu’il lui avait dit le matin de son départ pour l’île.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.