Je suis tombé par hasard sur cet épisode de Short Waves, un podcast en anglais diffusé sur la National Public Radio (NPR) aux États-Unis. L’épisode en question, qui se présente comme traitant de la lutte entre le placebo et la maladie de Parkinson évoque les recherches conduites par Peter Strick, un neuroscientifique de Pittsburg, qui tente de comprendre certains effets contextuels observés chez les patients atteints par la maladie.
Sont appelés à témoigner, pas jnécessairement dans l’odre ici retenu :
- les expérimentateurs ayant abouti par sérendipité à la découverte, alors qu’ils cherchaient toutsimlement à fabriquer une drogue de synthèse, des effets délétères du MPTP et en même temps d’un formidable outll pour rendre (entre autres espèces) les primates malades de Parkinson et ainsi tenter de comprendre comment et dans quelles circonstances ils parviennent à faire des choses que la maladie ne leur permettrait en principe pas de faire.
- les singes qui oublient qu’ils ont été trandsformés e malades de Parkinson quand ils sont heureux,
- et le virus de la rage qui aide les chercheurs à déteminer comment circule l’information qui doit aboutir au mouvement.