Peut-on vraiment avancer sans avoir débattu du modèle agricole et alimentaire que nous désirons ?

Je remonte ici trois interventions faites à l’occasion de la journée mondiale 2025 de la maladie de Parkinson, sous la forme d’une interview à l’hebdomadaire La Vie et de deux tribunes publiées respectivement dans la Charente Libre et sur le site Web du Nouvel Obs. Ces articles n’ont provoqué à peu près aucune réaction. Dans le contexte de la pétition contre la loi Duplomb et en particulier contre la réautorisation de l’acétamipride, je me demande si l’on va enfin parvenir à discuter posément des externalités positives et négatives de notre système de production agricole et alimentaire…

Pesticides et maladie de Parkinson : « Pour que cesse la loi du silence »

J’aimerais que le principe de précaution s’impose

Il relie Parkinson aux pesticides : le plaidoyer d’un malade qui vit depuis 13 ans « avec cet hôte indésirable »

Et j’ajoute une tribune (qui n’est pas de moi) parue dans le quotidien La Croix et qui me paraît pleine de sagesse :

Salon de l’agriculture : « Sortons des débats clivants et protégeons nos fermes françaises »

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